L air frais passe se faufile sous ma jupe, me leche les fesses. Je fais plusieurs fois volteface, il me suit avec son regard penetrant. Chaque fois que je me retourne, le vent gifle le clitoris. Je ne puis dire si j aime ou non, c est un peu comme l acidite d un bonbon citronne : tu fais la grimace quand tu le glisses sous ta langue mais tu ne peux t empecher d y remettre ton nez.

Et puis il y a le risque que la jupe se souleve et decouvre mon intimite aux passants, mais les frissons me parcourent l echine depuis mon petit berlingot frigorifie.

Je ne dois pas marcher assez vite a son gout, mon maitre me pousse la main au cul. Je presse le pas. Nous arrivon devant mon batiment.

Le palier nous mene aux escaliers. Je monte la premiere. Il peut a loisir mater mon petit derriere. J aurais aime qu il tente un petit quelquechose mais rien. Il n a pas decroche un mot, meme pas un sourire. Le cliquetis de la cle fait sauter le verrou de mon appartement. Il m empeche d ouvrir:

• Pose tes mains sur la porte !

Quoi? Pas comme ca, pas ici. Pourtant je m execute.

• Regarde devant toi !

Il retrousse ma jupe.

Que va t il me faire? Me baiser comme ca, a la hussarde dans le couloir. Et les voisins ils risquent de nous voir. A cette idee mon entrejambe suinte d envie. Que m arrive t'il?

Il glisse sa paume sur mon sexe epile:

• Tu mouilles, ca t' excite ? Tu en veux plus ?

Oui j en veux plus prends moi, baise moi !

• Aiiiieee !!!

Sa main vient de claquer ma fesse droite. Il me chuchotte a l oreille:

• Ne crie pas trop fort si tu ne veux pas que tes voisins nous surprennent.

Une deuxieme claque, un peu plus forte, suivie d une troisieme et d une quatrieme.

Je me mords la levre. Il aggrippe ma tignasse, la tire en arriere. Il enfonce ses doigts dans ma chatte trempee. Puis une deuxieme salve sur mes fesses en feu avant de me fouiller a nouveau. Je ne sais plus ou je suis. Ma tete s embrouille. Je suis a lui, entiere, a sa merci. Mon sexe ne demande qu a se faire remplir. Je veux sentir son sexe me cogner le vagin. Je suis au bord du gouffre, l orgasme grimpe a toute allure. Il me sussure a l oreille:

• Tu aimes ca ! Salope ! Dis moi que tu es une veritable petite salope qui aime se faire defoncer comme une chienne !

• Oui vas y continue! Baise moi ! Je suis une salope ! Defonce-moi je t en supplie!

Alors que je suis sur le point d atteindre un orgasme fulgurant, Il stoppe tout, d un seul coup.

• Non n arretes pas, je t en supllie!

• Premiere punition.

Je lui hurle ma frustration:

• Tu n as pas le droit de me faire ca ! C est degueulasse de me laisser comme ca!

Mon maitre me tire vers lui, ouvre la porte et me pousse brutalement dans l entree. certainement alerte par mon coup de gueule, le quarentenaire logeant en face de chez moi venait de poindre le bour de son nez:

• Desole du derangement monsieur, ma soumise vient d apprendre que je pars en voyage ! Ce qu elle n avait pas compris c est que je l embarquais avec mes bagages.

• Il n y a pas de mal. Je prefere cela.

• Bonne soiree monsieur.

Je ne reve pas. Il m a bien mentionnee en tant que soumise ?!?

Il verrouille la porte derriere lui:

• Tu connais la cause de cette punition ?

• T avoir fait repeter un ordre.

• Vous... Vous avoir fait repeter un ordre. A partir de maintenant tu dois me vouvoyer. Est-ce clair?

• Oui maitre

• Pas encore. Pour le m appeler maitre, il faut le meriter. En attendant ce sera Monsieur. Compris?

• Oui Monsieur.

• Combien de punitions te reste-t il?

• Deux, Monsieur.

• Et quelle esr la cause de ta seconde punition ?

• J ai fait tomber le gode.

• Tu te trompes. Je te punis car tu m as decu. Je t ai donne un defi assez simple a relever et tu as echoue. Mets toi a genoux dans le coin les mains sur la tete.

Je me positionne a cote du meuble de television.

• Creuse bien tes reins et reste dans cette position jusqu a un ordre contraire.

Je commence a avoir les jambes et les bras qui s engourdissent. La position est plus difficime a tenir qu il y paraissait au depart.

J entends la sonnerie d un telephone portable. Derriere moi il decroche:

• Salut Marc. Ca va bien et toi?... Desole j ai dechire ta carte.... En tout cas je te remercie pour le coup de pouce.... Elle est tombee dans le panneau la tete la premiere !

L enfoire, il avait tout prevu, tout manigance. Je n en peux plus. J ai mal partout.

• Creuse tes reins !

Je me reprend mais c est vraiment douloureux maintenant. Je grimace.

• Viens ici.

Je me releve.

• Qui t a demande de te mettre debout. Viens ici, a quatre pattes, comme une chienne !

Il pose ma tete sur sa braguette. Il bande comme un fou. Je crois que jusqu a present je ne l avais jamais senti bander aussi fort!

• Leve les yeux. Regarde-moi.

Il sourit. Il est beau quand il sourit.

• Rassures toi. Ce n est pas si mal pour une premiere fois.

Il se penche en avant, m embrasse a pleine bouche. Nos langues se melent dans une danse frenetique. J ai de nouveau envie de lui.

• Si tu veux jouir. Je te l accorde.

J ecarte mes cuisses. Mes doigts s enfoncent dans ma chair. Je me masturbe en le regardant

droit dans les yeux. Je me cambre pour lui au devant du plaisir qui m manime.

Et la jouissance arrive, enfin.

• Attends encore un peu.

Je continue, contient la fournaise.

• Encore un peu.

Je suis a lui, entierement a sa merci. Je vais bientot eclater.

Mon visage se crispe sous la tension de mon corps.

• S il vous plait, Monsieur.

• Encore un peu.

Je suis au bout de ma vie. Je tremble de partout. Mes nerfs sont sur le point de craquer. Des larmes perlent mes joues.

• Vas-y !

J eclate ! Je jouis ! Le nirvana ! Je meuuuuurs!!!!

Je tombe a moitie inerte sur le sol.

Il s asseoit a cote de moi, pose a tete sur ses genoux. Im me caresse les cheveux:

• Pour aujourd hui ce sera suffisant. Mais n oublie pas qu il te reste une punition...

La suite au prochain numero.